"The concert was
great..
After the show, I see Leo
and ask "What about the DVD ?"
Leo answer : "it comes
soon"
After the Drum solo, Ric
speak in French
People was happy after one
hour and 45 minutes of great music
Interview in a french
Newspaper : In French ( Sorry)"
Groupe de blues rock
anglais créé en 1965, Ten Years After a
explosé aux yeux du monde à Woodstock avec
une version aussi hallucinante qu’hallucinée
de I’m going home. Votre carrière
aurait-elle été la même sans cette
incroyable exposition ?
Leo LYONS,
bassiste : «Je ne sais pas mais il est
certain que ce festival et surtout le film qui
en a été tiré ont contribué à nous faire
connaître, bien au-delà de ce que nous
espérions.
On avait déjà tourné aux Etats-Unis, mais
c’était dans de petites salles, avec
quelques centaines de spectateurs tout au
plus. A Woddstock, on s'est retrouvé devant
une vraie marée humaine. J’ai souvent
l’impression de passer pour un ancien
combattant quand je parle de ça. En tout cas,
à l’époque, en1969, je n’aurais jamais
pensé que 40 ans plus tard, on m’en
parlerait encore (rires). C’était une période
formidable pour la musique. Tout le monde
avait des idées, ça bougeait dans tous les
sens. Certains voulaient changer le monde,
d’autres étaient plus dans le trip sex and
drugs and rock’n’roll. Nous faisions
partie de la seconde catégorie.» Après
plusieurs séparations et reformations, Alvin
Lee, le principal auteur-compositeur avec vous,
a décidé d’abandonner le navire en 2002.
Il vous manque ?
«Honnêtement, de moins en
moins. Les jeunes qui assistent depuis sept
ans à nos concerts ne le connaissaient pas.
Et puis ça devenait de plus difficile de
travailler avec lui, surtout que travailler,
ça n’a jamais été vraiment son truc (rire
pincé).»
Joe Cooch, qui le remplace
aux guitares et au chant, pourrait être votre
fils…
«C’est vrai puisqu’il
n’a que de 32 ans et que j’en ai le
double. Mais vous savez, à l’âge de 27
ans, je me trouvais moi-même trop vieux pour
jouer dans un groupe de rock. Au final, je
suis toujours là, alors je sais par expérience
que c’est dangereux de parler d’âge (rires).
Plus sérieusement, je le considère surtout
comme un ami. Il est plein de talent et déborde
d’enthousiasme. Il n’essaie pas de jouer
à la manière d’Alvin mais apporte sa
touche personnelle, son propre style. Il nous
a apportés du sang neuf.»
Qu’est ce qui vous fait
continuer, non pas 10 mais 44 ans après ?
«J’ai la chance d’être
en bonne santé. Je prends du plaisir,
j’aime jouer et j’ose espérer que le
public en prend aussi, que ce soit quand on
lui ressert I’m going home ou Good morning
school girl que quand on lui présente nos
dernières compositions. Tant que je peux
faire ce que j’aime, être sur scène, je
m’estime chanceux. Le reste, vous savez…»
Propos recueillis par Olivier
MENU. Ten Years After à La Passerelle à
Florange, ce soir à 20 h 30.
The Gig:
Working on the road
King of the Blues
Angry Words
Big black 45
50,000 miles
Hobbit
Love like a man
Slip slide
Change the world
Little schoolgirl
I can' t keep from crying
Going home
Reason why
Choo choo mama
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Merci
beaucoup à Christian Fix de son contribution !
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